
Naturopathe et praticienne hydrotomie percutanée

La médecine et moi, une histoire de longue date
Ancienne militaire dans le domaine de la santé et du secourisme, je me suis retrouvée dans l’armée de terre à soigner les pieds puis j’ai fait de la formation en secourisme et de la médecine de guerre. J’ai ensuite fait des études dans une école d’infirmière. J’ai souffert pendant ces périodes-là du syndrome du côlon irritable.
Pour aller mieux, je me suis rapprochée de la nature, revu toute mon alimentation et mon hygiène de vie, j’ai fait beaucoup de recherche et consulté en médecine douce. Je me suis remise au sport et notamment au crossfit, à la course à pied et à la natation de manière régulière, ce qui m’a totalement guérie.
À l’âge de 30 ans, on m’a diagnostiqué un cancer du col de l’utérus. Après ma rémission, j’ai été accompagnée pour la gestion et la libération de mes émotions. Cela m’a permis de faire du développement personnel et spirituel, j’ai compris alors beaucoup de choses.
Je me suis formée à l’hydrotomie pour apporter une alternative aux antalgiques, dans le soulagement de la douleur. Dans cette même idée d’offrir une voie thérapeutique douce pour accompagner les patients vers un mieux-être, je me suis formée à la naturopathie et j’ai développé des compétences en réflexologie plantaire et en hypnose.
Mon approche
Dans le cadre de ma pratique, j’utilise l’hydrotomie afin de vous aider à soulager votre douleur. Cette technique permet d’effectuer de véritables lavages thérapeutiques cellulaires en détoxiquant le milieu. Elle vise à créer un volume de liquide dans la peau appelé « coussin d’hydrotomie ». Ce coussin va intervenir sur 5 mécanismes :
- L’hydratation extracellulaire (solution saline physiologique)
- La micronutrition cellulaire (oligoéléments vitamines a d e c k, complexe de vitamines b, silicium organique)
- La microcirculation pour oxygéner les cellules (vasodilatation…)
- La détoxication cellulaire des métaux lourds (plombs, mercure, cadmium, calcium périphérique au niveau de l’os et des calcifications sous-cutanées comme l’arthrose et les becs de perroquets)
- La stimulation immunitaire par méso-vaccination intradermique (nappage avec de très petites quantités de vaccin très dilué).